Comment régler la crise financière québécoise?

Depuis quelques mois déjà, les contribuables du Québec peuvent investir jusqu’à 5000$ par année, libres d’impôts, parce que les gouvernements trouvaient que les gens étaient de plus en plus endettés et qu’ils n’étaient pas en mesure d’épargner.

Cette mesure peut s’avérer avantageuse pour seulement  60% de la population qui paie des impôts, parce que les autres n’ont pas assez de revenu pour en  payer.

Et pendant de ce temps, les finances publiques deviennent de plus en plus  désastreuses. Les gouvernements cherchent des solutions pour régler le problème, et on parle déjà d’augmenter les tarifs de certains services, dont celui de  l’électricité qui  est loin de faire l’unanimité, puisque ça ne touchera pas seulement les mieux nantis, mais également les bas salariés et les prestataires d’aide sociale, assurance-emploi, etc. qui ont déjà toutes les difficultés du monde à arriver.

Pourquoi le gouvernement avant d’augmenter les tarifs, ne commencerait-on pas à faire le ménage dans certains abris fiscaux et divers programmes d’aides aux entreprises?

Le gouvernement ne cesse de donner des subventions aux entreprises qui sont moribondes, où encore on offre de l’argent à des entreprises pour qu’elles viennent s’établir au Québec, et qui décident après quelques années d’activité de fermer leurs portes, pour s’installer ailleurs où on leur donnera d’autres avantages plus intéressants.

Où encore on donne de l’argent à Bombardier, qui ouvrira par la suite des usines au Mexique, aux États-Unis  et en Irlande du Nord pour la production de certains produits, au lieu de créer des emplois de qualité  au Québec.

Le gouvernement avant de prendre ses décisions, devrait se mettre avant-tout en mode écoute de la population et non pas seulement écouter les requêtes des compagnies.

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